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jour 11.       24 septembre

C’est la dernière étape. On ne peut pas quitter le Cheylard sans aller visiter la petite chapelle qui domine le village.

Une première montée nous amène sur le chemin des châtaignes. Un peu plus tard on bute sur un grillage qui enferme la chasse privée du Mourre le la Gardille. D’après interrnet cetyte chasse privée fait 1000 hectares ; Pendant près de la moitié de la journée, nous allons contourner ce parc avec un grillage de deux mètres de haut.

Nous irons piqueniquer au Mourre de la Gardille un petit promontoire avec une table d’orientation. Le petit vent un peu trop vif nous incite à redescendre un peu pour s’abriter.

Peu après nous rencontrons un couple en perdition. Ils font Stevenson mais se sont complètement égarés en ratant une bifurcation. Tout juste rassurés par nos compétence d’orientation, il acceptent de nous suivre afin de les remettre sur le bon chemin. Espérons qu’après les avoir mis en bonne position, ils ont retrouvé leur gite à Chaseradés.

Enfin c’est l’arrivée à La Bastide Puy Laurent dernière étape à l’hôtel de la Grand’Halte.

Apéritif de rigueur dans le dortoir du dernier étage.

Malgré la fatigue de certains, pas de blessures, pas de bobos, seules quelques éraflures pour les habitués, les organismes sont en bon état après dix jours de randonnée, plus de 200 km parcourus et un peu plus de 6000 mètres de dénivelée positive.

Le soir : Tranche de pâté, escalope de dinde frites et plateau de fromage.

Nous avons miraculeusement échappé aux saucisses

Etape du jour :24 km et 670 m de dénivelée positive.

jour 12.       25 septembre

C’est la journée SNCF. Jean-Louis joue les chefs de gare en empruntant le chariot règlement en usage au siècle dernier. Un seul voyage et il remplace les porteurs.

Le trajet de retour va longer l’Allier au plus près, nous offrant ainsi la vision qui était impossible lors de la randonnée. La ligne SNCF suit l’Allier par le fond de la vallée, ainsi la déclivité devient compatible des pentes maximales SNCF.

On constate alors que l’Allier fait énormément de méandres et creuse son chemin au gré des roches dures ou des roches tendres. Nous comptons 52 tunnels à quelques-uns près. Nous revoyons les points mémorables : Langogne, Chapeauroux, Prades et Chanteuge puis Langeac.

Notre terminus est à Brioude. Et la nôtre ami Jean SEBIRE, l’aubergiste du premier jour, nous attend au volant de la JEEP N°20030708 qui a fait le débarquement de Normandie. Nous sommes cinq chauffeurs plus lui pour faire les cinq km qui nous séparent de nos voitures devant son auberge à Vieille-Brioude. L’équipage fait sensation, sans ceinture, capote relevée. Quelle fin de parcours.

Grand Merci à Jean de nous avoir offert une si belle fin de rando.

Merci aux filles Solange, Maryse, Danielle, Ghislaine, Annie, Mireille, Claire et Marie, merci aux garçons Jean-Louis, Joël, Georges, Jean-François, Bernard d’avoir marché et participé dans la bonne humeur à ce trek de plus de 200 km et plus de 6000 m de dénivelée.

Et grand merci à Alain qui m’a aidé dans la conduite de ce trek avec beaucoup de compétence, de doigté et d’efficacité.

les photos de ces deux derniers jours sachant que, cerise sur le gâteau André m'a envoyé ses photos parcourant donc l'ensemble de ces 12 jours, photos que je mettrais à disposition un peu plus tard 

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